Remue-ménage !

Programme chargé dans les jours à venir pour les élèves de théâtre ...

Jeudi 26 janvier, après-midi, représentation d'un diptyque de Philippe Minyana : Sous les arbres et De L'amour . Le premier texte est mis en scène par Frédéric Maragnani, le second par Philippe Minyana .
Les élèves de première travaillent depuis septembre sur des extraits de De l'amour.

Ce cycle Minyana se terminera le 14 février pour les premières : ils auront alors la chance de travailler toute le journée avec Philippe Minyana . L'occasion pour eux de revenir sur le spectacle et de présenter leurs propositions de mises en scène de son texte.
P. Minyana interviendra également la veille en proposant un atelier de 2 heures à la classe de 1S2.
Cette action est rendue possible grâce à Comédie de Picardie et au soutien de la Région Picardie.

Vendredi 27 janvier, les élèves de première et de terminale participeront à un atelier de pratique avec Françoise Leick, danseuse notamment pour Maguy Marin . Un façon très concrète d'entrer dans la démarche artistique de cette chorégraphe dont ils verront le dernier spectacle Salves le 17 février au Manège de Reims.
Ils travailleront également 3 h en amont (le 6 février) puis 3h en aval (le 21 février) avec la journaliste Florianne Gaber .
Cette action est conduite par L'Echangeur , dans le cadre d'un Parcours Découverte proposé par la Région . L'atelier avec F.Leick est proposé gracieusement par le Manège de Reims .

Vendredi  27 janvier, en soirée, les élèves assisteront à L'homme à tête de chou, un spectacle de Gallotta et Alain Bashung à partir de l'album-concept éponyme de Serge Gainsbourg.

Samedi 28 janvier, direction la Comédie de Reims , pour 30 élèves de l'option et de la 1e S2, pour découvrir la mise en scène de Christine Berg d' Hernani de Victor Hugo.

Mercredi 1e février, 5e atelier avec la compagnie Du Zieu dans les Bleus, ce sera de nouveau Mitsou Doudeau qui viendra approfondir le travail de masques entamé précédemment.

Jeudi 16 février , La compagnie revient pour présenter l'Etude n°5 de son projet De l'adolescence  ; représentation suivie d'une discussion et d'une expérimentation au plateau.

Nous terminerons ce beau programme de rencontres et de spectacles le vendredi 24 février avec une représentation du Dindon De Feydeau mis en scène par Philippe Adrien , et une rencontre autour de la scénographie , au Mail.

3e atelier avec Du Zieu

Mercredi 4 Janvier , 3e atelier avec une comédienne de la compagnie Du Zieu dans les Bleus, cette fois Mitsou Doudeau, pour les élèves de 2de  et quelques élèves de 1e et de Tle.

D'abord un gros travail d'échauffement du corps, en détail sur la posture (position des chevilles, des genoux, du bassin, de la colonne ...), des exercices qui préparent la suite du travail .

Recherche et création de "masques" à partir de deux déformations précises dans le corps : Mitsou transmet aux élèves la façon dont la compagnie travaille sur les "masques" des personnages des Etudes .

reprise des ateliers avec les comédiens de Du Zieu

Mercredi 19 octobre,  les élèves de seconde et une partie des élèves de première ont travaillé 3 heures avec la comédienne Rama Grinberg, de la compagnie Du Zieu dans les Bleus.
Atelier centré sur l'Etude n°4 , de l'amour, présentée par la compagnie le 12 octobre.

Un 2e atelier avec Rama a eu lieu le mercredi 23 novembre , où le travail engagé le 19 a été poursuivi.

Ces ateliers sont mis en place grâce à la Région Picardie (Projet réussite éducative en Picardie - Une pratique du théâtre: acteur et spectateur), L'Echangeur de Fère-en-Tardenois et la DRAC Picardie.

Le mardi à Monoprix

Vendredi 21 octobre :

Au Mail, les élèves ont assisté à la représentation de Le mardi à Monoprix , un texte d'Emmanuel Darley, mis en scène par Michel Didym , avec Jean-Claude Dreyfus, accompagné par le contrebassiste Philippe Thibault.

"Tous les mardis, Marie-Pierre et son père ont pris l’habitude de passer la journée ensemble. lls parlent, de tout et de rien, font les courses pour la semaine au Monoprix. On connaît bien ce couple mal assorti dans les rayons de ce magasin de quartier. Mais on ne peut s’empêcher de les scruter, de dévisager cette grande et belle femme trop voyante, trop maquillée. Une grande femme qui, avant de se faire appeler Marie-Pierre, portait le prénom de Jean-Pierre. C’est en voyant un tel couple dans un supermarché qu’Emmanuel Darley a eu l’idée d’écrire l’histoire de cet homme devenu femme. L’auteur a ainsi imaginé ce que l’on se dit dans de telles circonstances et ce que l’on préfère taire. Ce que l’on parvient à accepter et ce qui reste une blessure, ce qui perdure d’avant et ce qui s’affirme dans le présent… "